Le mouvement et les actions ont la capacité de produire et d'exprimer du sens là où les mots échouent. La rencontre de David Hernandez avec les interprètes en formation de Coline se place sous le sceau du langage physique. À partir de cellules de mouvement partagées, la composition en atelier aboutit à une sorte de polyphonie visuelle. Les phrases écrites et interprétées forment une fugue dans une mélodie interactive. Chaque danseur contribue à la Création d'une signature unique. Les thèmes de l'individualité à l'intérieur du groupe et de l’inter-connectivité agissent en métaphore des problématiques sociales.