Dans une forme de lecture/performance, Abîme tisse le fil d'une autobiographie féministe. Dans un dialogue entre danse et récit, Abîme rompt un silence, parle de violence, de généalogie de la honte mais aussi d'émancipation, d'affirmation et de puissance minoritaire. L'histoire personnelle y croise l'histoire collective, dans un spectacle puissant de l'intimité et du politique entremêlé.